Je pars. Adieu, ma fée enchanteresse!
Jouis de la paix que je te fiche ! Essaye
De profiter pleinement du sommeil
Et du repos dans lequel je te laisse !
Tout est, sans toi, mocherie et bassesse :
Tes pendentifs, ôtés de tes oreilles,
Sont des cailloux ; ton jupon est pareil
À un torchon, s’il ne colle à tes fesses.
Les occabus et psellions que je t’offre,
Sans toi dedans, ne sont que de la frime
Et valent moins qu’un ramas d’algues mortes ;
Sauf un seul diam, qui t’appartient en propre,
Mais qui ne peut sortir de ma poitrine
Et que j’emporte où que le vent me porte.
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